PARIA pour les mots qui osent, acerbes, sans consensus.
BINGHI pour la ferveur, la transe, la pulse qui fait vibrer la poitrine.
Dans le ventre de leurs machines résonnent encore les ondes des premiers Niyabinghi, des riddims d’Alpha and Omega, de Jah Shaka. Lorsque la voix s’en mêle, c’est la verve d’un Pierpoljak qui voltige entre la poésie et un regard sur le monde lucide et onirique, vibrant comme un appel…
Du gros son lourd de sens, forgé dans les circuits imprimés mais qui transpire toute son humanité sur scène.